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 Just a stupid love story
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Perdu
Stanislas Störmblad
Stanislas Störmblad

MESSAGES : : 6

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MessageSujet: Just a stupid love story   Just a stupid love story Icon_minitimeDim 22 Avr - 19:25

Stanislas Störmblad
feat {Spain, Hetalia}

SURNOM : Stan, Lala
AGE : 23 ans
SEXE : Masculin
NÉ(E) LE : 12 août
NATIONALITÉ : Suèdois
GROUPE : Perdu
ADHÉSION : Aucune pour le moment
STATUT : Jack of all trades



Physique
.

TAILLE : 187 cm
POIDS : 81 kg
CORPULENCE : Il est grand, et même s'il n'est pas particulièrement épais, il possède une carrure assez respectable et, de loin, on pourrait presque penser qu'il peut être dangereux. Mais il suffit de s'approcher assez pour comprendre à son visage franc et ouvert que, s'il devait un jour se battre contre une mouche, celle-ci semblerait avoir toutes ses chances.
PEAU : En accord avec ses origines, il a la peau claire, mais celle-ci bronze, ou plutôt brule sous le soleil, très rapidement.
CHEVEUX : Cheveux bruns, courts même s'ils commencent à pousser un peu en free style depuis son arrivée, faute d'entretien
YEUX : Gris foncé ou noir clair, tout dépend du point de vue. Pleins de vie
MEMBRE(S) EN MÉTAL : ~
AUTRE(S) : Quand il parle, il lui arrive d'utiliser des expressions bizarres et vieillottes qu'il a apprises dans les centaines de romans chevaleresques qu'il a ingurgités.

Personnalité
.

ORIENTATION SEXUELLE : Hétérosexuel. Bien qu'il soit niais et donc persuadé qu'on ne peut aimer qu'une seule personne, c'est un garçon normalement constitué qui ne reste pas sans intérêt pour la gente féminine.
QUALITÉS : Doux, attentif au autres, serviable, pas contrariant, joyeux, enthousiaste, affectueux, fidèle, pas rancunier, idéaliste, responsable (enfin, il essaie), galant, sociable.
DÉFAUTS : Peut-être justement un peu trop serviable, niais, incapable de prendre une décision par lui-même, émotif, facilement influençable, pychologiquement fragile, collant, inconscient, "vieux jeu"(?).
GOUTS : Aime la majorité des choses existantes dans l'univers, en particulier Sara, même si elle n'est plus de ce monde. Rendre service, aider. Il aime beaucoup les boissons chaudes en tout genre, ainsi que la couleur blanche. Et les toasts recouverts de sucre glace.
N'aime pas voir les autres tristes ou en difficulté. Sans dire qu'il ne l'aime pas, il n'apprécie pas particulièrement la soeur de sa femme, même si leurs relations se sont améliorées depuis la mort de cette dernière. Déteste les bruits réguliers, comme le tic-tac d'une montre. D'ailleurs, déteste en règle générale tout ce qui est trop régulier, trop parfait. En effet, il n'aime pas l'ordre et veille toujours à ce qu'il y ait une petite imperfection quelque part. Par exemple, il a la manie de désaligner les livres parfaitement rangés, ou de casser une craie dans une boite neuve. Il fait partie de ceux qui pensent que toute perfection doit contenir une part d'imperfection.
RÊVE(S) : Il rêve de revoir sa femme même s'il sait bien que cela est impossible. Il souhaite toujours aider le maximum de gens/choses/êtres possible, bien que sa façon d'aider les gens tende à être un peu moins conventionnelle depuis la mort de Sara. Il aimerait pouvoir libérer le plus de gens possible, ou au moins changer la prison pour la rendre plus sûre, plus habitable. Mais sa principale priotité est de faire sortir Rachel d'ici.
PEUR(S) : Vivant dans un monde tirant relativement vers le pays de Candy où tout le monde est gentil, il n'a peur de rien, mais uniquement parce qu'il ne voit pas le danger. Il ne supporte pas de voir qui que ce soit pleurer. Sinon, sans vraiment pouvoir qualifier ça de "peur" bien que cela surpasse le simple stade de dégout, il ne supporte ni les vêtements mouillés, ni le bruit du tissu qu'on noue ou qu'on griffe. Ces deux choses provoquent chez lui une aversion physique incontrolable qui se traduit par un sentiment de malaise et de nausée qui perdure plus ou moins longtemps.
SECRET(S) : Il n'en a pas
AUTRE(S) : Stanislas est typiquement le genre de personne insupportable qui vous suit avec un air de chien battu et refuse de vous lacher avant d'avoir pu vous rendre un quelconque service, que vous soyez d'accord ou non. Il se montre particulièrement attentif envers les dames, mais se comporte avec elles à la manière des chevaliers des livres ce qui les laisse souvent perplexes.

Passé
.



7 juillet 2011, Stockholm

Procès de Stanislas Störmglad, 23 ans, étudiant en Relations Internationales, veuf.
Chefs d'accusation: Homicides multiples réalisés avec prémédiation. Corruption de mineure. Détention et port illégaux d'armes. Vol de matériel médical et militair.
Argument de la défense: Irresponsabilité pour cause de démence. Incitation par autrui.
Verdict: Coupable
Condamnation: Prison à perpétuité. Gefängnis

La Suède est un pays unaniment reconnu pour son taux de criminalité relativement faible, et il faut bien reconnaître que l'évènement était suffisamment frappant pour passionner les foules. Ces deux détails peuvent expliquer le fait que l'histoire fût retransmise avec un souci manique du détail par nombres de journalistes du pays. Par ceux du quartier de Skeppsholmen, tout particulièrement. Peut-être parce que c'était une petite île. Peut-être parce que c'était le lieu du drame. Peut-être parce que c'était là que vivaient ses principaux acteurs. Peut-être parce que c'était là qu'on les connaissait le mieux, et donc qu'on les comprenait le moins.

Quoi qu'il en soit, le drame avait choqué.
Par son ampleur, d'abord. Dix-huit jeunes gens dans la fleur de l'âge, massacrés par balles sans aucune pitié dans leur établissement, à l’Ecole Supérieure des Beaux-Arts de Stockholm, KUNGLIGA KONSTHÖGSKOLAN. Sans compter les cinq autres victimes précédentes, retrouvées mortes chez elles suite à d'une injection lethale.
Par ses auteurs, ensuite. La petite Rachel. Et surtout ce grand idéaliste de Stanislas. "Un garçon si gentil...". "On ne se serait jamais attendu à ça de sa part!". Des phrases qu'on entend souvent quand on questionne les connaissances des criminels. Mais ils avaient des raisons d'être surpris. Stanislas Störmblad avait toujours été un garçon exemplaire. Il y a trois mois à peine, sa vie aurait pu parfaitement s'insérer dans un roman pour petites filles. Marié avec la seule fille qu'il ait jamais aimée dès que celle-ci eu fini le lycée, il suivait des études en Relations Internationales tout en s'investissant dans diverses associations d'aide humanitaire ou de préservation des espèces. Pas de casier judiciaire, pas d'infraction, pas de problème, pas d'ennemi. Toujours gentil, serviable, poli. Son geste était incompréhensible, vraiment. "Ça vous faisait perdre foi en l'humanité, un truc comme ça." affirmait une voisine.
Par son issu, enfin. L'avocat du jeune homme, un ami, s'était donné du mal pour essayer de minimiser les dégâts. Stanislas ne l'y avait pas aidé. Tout le monde s'attendait à qu'il finisse en prison pour un long moment. C'était une fin logique qui n'avait surpris personne. Ce qui les avait laissés dans l'incompréhension, c'était son sort à elle. La petite Rachel. Elle ne s'était pas beaucoup défendue, mais son avocat, qui était loin d'être un incompétent, s'était démené pour elle, listant une bonne dizaine de circonstances atténuantes qui auraient dû lui assurer une peine ridicule. Elle était mineure. Elle n'aurait même pas dû passer un seul jour en prison. Quand la sentence était tombée, nombre d'associations de défense des droits de l'enfant avaient froncé très fort les sourcils en se demandant si tout cela était vraiment légal. Prison à perpetuité. A 17 ans. Des procédures d'appel furent engagées, mais toute protestation était inutile. Les deux condamnés avaient de toute façon déjà quitté la surface de la Terre.

Mais la population suédoise n'était pas la seule surprise, il y en avait un autre, qui ne comprenait pas. Il aurait dû, pourtant. C'était quand même lui l'acteur principal. Mais tout était allé trop vite, certainement. Sa vie avait pourtant si bien commencé.
Chats, carpes, escargots, Stanislas avait toujours eu l'habitude presque maladive de porter secours à tout être -humain ou non- qui lui semblait un tant soit peu en difficulté. C'était sans doute pour ça qu'il l'avait remarquée. Il avait toujours été heureux. Durant son enfance - période qu'il ne semble ne jamais avoir vraiment quittée - , aucun drame, d'aucune sorte, n'était venu ternir ses journées Entre son père vétérinaire et sa mère assistante sociale, son âme de niais bienheureux avait été exacerbée et il exprimait clairement sa volonté de rendre le monde à l'image du sien. Quand il l'avait rencontrée, elle n'avait pas besoin d'aide. Mais ça allait changer, c'est sans doute ce qui l'avait attiré.
"Ô princesse de mon coeur dont la grâce et la créativité rendent jalouses même les Muses, voudrais-tu m'épouser?" Celle a qui il avait demandé ça, c'était toujours elle. Sara. La femme de sa vie. Son petit raton laveur comme il l'appelait en référence à son visage régulièrement entaché de peinture. Même si elle était un peu plus proche que lui de la réalité, Sara avait un idéal et un mode de pensée similaires au sien et n'avait donc pas été le moins du monde perturbée par le mode de formulation de la demande. Elle avait dit oui, les différents parents avaient donné leur accord avec joie, la cérémonie avait été splendide, et ils s'étaient ensuite installés tous les deux dans le petit appartement offert par les familles et amis en guise de cadeau de mariage. Un petit voyage de noce dans une petite ville au Nord du pays. La vente des tableaux peints par Sara, complétée par les indemnisations que recevait Stanislas pour son bénévolat, suffisait à les faire vivoter en attendant qu'ils trouvent un vrai travail. Aucun des deux n'eut cette opportunité. Agée d'à peine 22 ans, Sara mourrut.
Pour le jeune homme qui n'avait encore jamais vu l'un de ses proches décéder et qui croyait dur comme fer au célèbre "ils se marièrent et eurent beaucoup d'enfants", constater qu'on ne dépassait parfois pas la première étape du dicton représenta un choc magistral. C'est à partir de ce moment là que tout avait dérapé, sûrement. A partir de ce moment là qu'il avait perdu le fil des évènement et qu'il n'avait jamais vraiment pu les rattraper.
Quand il avait fallu "laisser partir" Sara, les médecins s'y étaient pris avec tout le tact que nécessitait une telle annonce. Ils connaissaient tous Stanislas à cause des malades et blessés en tout genre qu'il s'évertuait à amener à l'hôpital. C'est pourquoi, en tant que professionnels, mais aussi en temps qu'amis, ils avaient pris soin de présenter la chose sous le meilleur jour possible, disant que le coma durait depuis trop longtemps, que la jeune fille devait être fatiguée de lutter pour rester en vie, qu'elle préférerait sans doute qu'on la libère de ce corps et de toutes les souffrances qu'il engendrait pour pouvoir l'attendre paisiblement au Paradis.
Le jeune homme déphasé n'avait retenu qu'une chose. On tuait son âme soeur pour la libérer de ses souffrances. Sa psychologie gravement perturbée fit sans difficulté le lien qui lui semblait s'imposer: mourir libère des souffrances. Mourir aide.
Le soir suivant, Mathilda, jeune fille aux jambes paralysées, fût retrouvée morte dans son lit, une trace de piqûre sur le bras. Il y eu quatre autres victimes avant que l'activité du jeune homme soit découverte. Par Rachel. Il n'avait jamais été proche de sa belle-soeur. Elle ne l'aimait pas, et la propension innée du brun à évité les conflits l'avait conduit à l'ignorer. A une autre époque, la jeune fille aurait été ravie de surprendre le mari de sa soeur dans des activités répréhensibles. D'ailleurs, elle le fût. Mais pour une raison différente d'autrefois. Depuis la mort de Sara, sa soeur avait changé d'attitude vis-à-vis du garçon. Parce qu'ils partageaient les mêmes sentiments pour la morte, parce que Stanislas ne supportait pas de voir qui que ce soit pleurer, ils s'étaient rapprochés. Quand elle découvrit les activités de son beau-frère, Rachel ne mit pas longtemps à le convaincre de l'aider. Elle voulait se venger. Lui, non, bien sûr. Il n'était pas comme ça. C'est pourquoi elle avait présenté les choses soigneusement. "Il faut les aider, tu sais. Ils se sentent tellement coupables. Ils ne dorment plus, ne mangent plus. C'est ton devoir de les aider, de les libérer.". Stanislas n'était pas bête. En temps normal, il ne se serait jamais laissé convaincre par une argumentation pareille. Mais depuis la mort de Sara, il vivait en parallèle avec la réalité et ne réfléchit pas aux paroles de la jeune fille. Et puis peut-être qu'au fond, tout au fond de lui, un petit coin d'imperfection qui criait vengeance l'aida se laisser persuader avec un peu plus de facilité.
Se procurer des armes n'avait pas été bien difficile. Au cours de ses bénévolats, il travaillait avec des militaires. Accompagné de Rachel, il se rendit dans l'école d'art qu'avait fréquenté Sara. La petite tira. Il fit de même. Deux fois. Deux morts. Puis il vit le sang, un garçon qui suppliait pour qu'on le laisse en vie. Son arme glissa entre ses doigts et il resta immobile, hagard, tout le temps que dura le massacre. Quand la police arriva, il n'avait toujours pas bougé et n'opposa pas la moindre résistance.

"Monsieur Stanislas Störmglad, vous êtes accusé d'être responsable de ving-trois assassinats survenus entre le 11 et le 27 juin de l'année 2011. Dix-huit d'entre eux faisaient partie de l'université de feu votre femme, Sara Störmblad née Kihlèn, décédée le 10 juin 2011 à l'âge de 22 ans. Vous êtes également accusé d'avoir entraîné dans ces meurtres Rachel Kihlèn, votre belle-soeur, mineure. Reconnaissez-vous les faits?

D'une main tremblante, le jeune homme brun tiraillait les mèches sombres qui tombaient sur sa nuque pendant que son regard parcourait la salle, nerveux. Il n'était pas d'accord, il n’avait rien fait de mal, il voulait juste les aider. Néanmoins, le "Oui" qu'il prononça était clair et sa voix ne laissait paraître aucun tremblement. A côté de lui, son avocat, un vieil ami, grinça des dents.

"Votre Honneur, je plaide pour mon client la non-responsabilité pénale pour démence."

Le juge soupira. Il trouvait toujours ça subtilement ironique, de voir des meurtriers plaider la démence. Bien sûr qu'ils étaient fous. On ne tuait pas des honnêtes gens à tout vent de cette manière lorsqu'on était sain d'esprit.

"C'est ce qu'affirme l'expertise médicale?

"Non mais vous savez qu'il a perdu sa..."

Le juge le fit taire d'un regard. Pas d'expertise, pas d'objection. L'avocat fit une nouvelle tentative.

"Votre Honneur, mon client a été influencé dans ses meurtres par Mademoiselle Rachel Kihlèn."

Malgré la gravité de la situation, plusieurs personnes dans la salle s'esclaffèrent. Un homme adulte, qui aurait été entrainé au meurtre par une jeune adolescente. N'importe quoi. C'était plutôt lui qui avait entrainé la pauvre enfant dans son macabre travail.

Le juge ne prit même pas la peine de déclarer l'argument irrecevable. Il aurait dû, pourtant. Car c'est sur cet argument -entre autres- qu'on condamna la jeune fille.

Elle n'aurait pas dû finir là-bas. Elle était mineure. Elle avait des dizaines de circonstances atténuantes. Il aurait dû être le seul à être condamné. Mais dans la salle, il y avait un homme important. Riche et puissant. Très attaché à sa fille. Sa fille qui avait participé aux brimades subies par Sara, et qui avait eu la chance d'être absente le jour du massacre. Il avait peur que si Rachel ou Stanislas venaient à retrouver leur liberté, ils ne viennent terminer leur vengeance. Mais il ne pouvait pas les faire tuer, toute la population suédoise suivait l'affaire. Alors il se débrouilla pour les envoyer là d'où les gens ne reviennent jamais. Tout simplement.

Le jeune homme s'était montré relativement passif durant le procès. Son attitude ne changea pas au cours de leur envoi sur Gefängnis, malgré quelques passages quelque peu perturbants. Mais une fois là-bas, il se réveilla un peu. Il avait une jeune fille sous sa garde quand même! Bon, d'accord, ils étaient dans un monde où son incapacité à détecter une quelconque menace ou à se battre représentait un handicape plus que notable, et c'était le plus souvent lui qui était contraint de demander de l'aide à Rachel. Mais il n'était pas non plus complètement inutile. Tout au long de sa vie, il s'était appliqué à aider les autres. Grace à cela, il savait maintenant soigner, construire un abri et dénicher tout chose suceptible de servir de repas. Alliés à sa carrure dissuasive et au talent de combattante de Rachel, ses compétences avaient permis au duo de survivre jusqu'à ce jour dans un état à peu près correct.









Le chevalier aux gnufs


AGE : L'âge maudit
AVIS SUR JAIL WORLD : D'après ce que j'ai pu voir, ça m'a l'air très bien! (en même temps, si j'aimais pas, je ne me serais pas inscrit, hein.) . J'aime beaucoup le contexte (faut que je trouve le temps de lire le deuxièm tome d'Incarceron, tant que j'y pense) donc voilà
COMMENT AS-TU CONNU LE FORUM ? Top site *\o/* Je le suis depuis sa création en fait, et puis j'ai fini par me décider à m'inscrire.
AUTRE(S) ? *\o/* (ceci est une pompom girl, et non une chauve-souris, nous sommes bien d'accord?)
ACTIVITÉ : 2/7 jours de passage au minimum. Généralement, je m'arrange pour jeter au moins un coup d'oeil tous les jours, mais je préfère avancer un chiffre bas que je serai sûr de pouvoir respecter. Pour ce qui est du rythme de post... je ne suis pas très rapide en ce moment. Entre deux semaines et un mois environ. Mais ça devrait s'améliorer avec l'arrivée de l'été.

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Maître
Gesetz
Gesetz

MESSAGES : : 134
STATUT : : Reine.

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MessageSujet: Re: Just a stupid love story   Just a stupid love story Icon_minitimeDim 22 Avr - 23:06

BIENVENU À GEFÄNGNIS, STANISLAS.
Comme je l'ai dit sur celle de Rachel, j'apprécie beaucoup vos deux fiches qui s'entrecroisent et vos personnages liés l'un à l'autre. C'est toujours intéressent à lire, rien que pour savoir comment vont se goupiller les choses entres les personnages (et d'ailleurs il me tarde de voir la suite !).

TU ES MAINTENANT VALIDÉ ! BONNE CHANCE À TOI ET N'OUBLIE JAMAIS : LES TROIS DIRIGEANTS GARDENT UN ŒIL SUR TOI...
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