Hurle-au-Vent

MESSAGES : : 112 STATUT : : Chef des Rafleurs.

Hurle-au-vent

feat Itachi Uchiwa by Lily

SURNOM : A vous de trouver.
AGE : 27 ans.
SEXE : Masculin.
NÉ(E) LE : 27 décembre.
GROUPE : Natif.
ADHÉSION : Rafleur.
STATUT : Fondateur et chef des Rafleurs.

Physique

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TAILLE : cent-quatre-vingt-dix centimètres.
POIDS : Soixante-quinze kilogrammes.
CORPULENCE : Hurle est plus prés d'avoir la peau sur les os qu'une carrure de camionneur. Ce n'est pourtant pas un squelette ambulant, il garde une stature assez imposante de par sa stature carrée. Il a juste ce qu'il faut en musculature, c'est pas un catcheur non plus.
PEAU : Une peau relativement claire.
CHEVEUX : Des cheveux longs bruns descendant un peu plus bas que les omoplates, qu'il attache volontiers. Un peu coupé sur le devant, dégageant un peu le visage.
YEUX : Deux yeux bien marrons, un amande.
AUTRE(S) : Il a une chaîne en argent autour du cou.

Personnalité

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ORIENTATION SEXUELLE : Hétérosexuel tirant sur la nécrophilie.
QUALITÉS : Fraternel, Intelligent, meneur, franc, persévérant.
DÉFAUTS : Intransigeant, sans pitié, orgueilleux, manipulateur, insolent, froid, rancunier.
GOUTS : Il aime tout ce qui peut relever du sordide. La violence. Gouverner. Faire trembler. Ravager tout ce qu'il se trouve sur son passage. Faire parler de lui. Sans ça, il aime juste faire plaisir à sa soeur. Il aime son sourire.
RÊVE(S) : Renverser les maîtres et prendre leur place mais ce n'est qu'un rêve mineur, un leitmotiv qu'il donne à ses troupes. Non, son réel rêve est d'entendre la voix de Camomille, rien qu'une fois.
PEUR(S) : D'abord le fait de savoir qu'un jour la mort viendra cueillir sa chère Camomille puis la destruction des rafleurs.
SECRET(S) : Les rafleurs est un groupe dont l'origine même sert à protéger sa soeur.
AUTRE(S) : ...

Passé

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I am the "who" when you call, "Who's there?"
I am the wind blowing through your hair

« Tu es sorti du ventre d'une jeune demoiselle à la profession devenue si monnaie courante sur cette île peuplée des pires êtres qui puissent exister. Fils d'une prostituée n'est pas si horrible en soi, juste qu'il a fallu que tu sois capable de ne pas être un poids pour ta pauvre mère. Tu t'es endurci, tu as trouvé moult combines pour que vous ne mourriez pas de faim. Tu n'as jamais cherché à te faire des amis, ta génitrice était de tout ce qu'il y avait de plus important, tu n'avais pas de père alors c'était à toi de t'occuper d'elle. Tu effaçais tous tes désirs aux profits des siens. Elle ne te cachait jamais rien, tu savais d'où provenait le peu d'argent que vous aviez, tu ne l'as jamais vu comme une débauchée mais comme une survivante parmi un tas de vers grouillant dans les rues sales et froides de Close. La vie n'était pas facile et surtout incertaine, tu admires le courage qu'elle a eut de t'avoir garder auprès d'elle. Elle aurait très bien pu t'abandonner, te tuer, te vendre, te manger. Rien que pour sa survie. C'est aussi pour tout cela que tu n'as que vaguement pleuré à sa mort, elle était tellement belle avec ses yeux semi-clos, le corps en sueur et en sang, le teint blafard. C'est à ce moment-là que tu as trouvé que les femmes étaient bien plus belles inertes que vivantes. Ta mère ne t'a pas manqué car elle t'avait laissé une partie d'elle en donnant naissance à une petite fille, juste avant de rendre son dernier soupir, que tu avais appelé Camomille, comme le nom des fleurs préférées de ta défunte mère. Un jolie petit bébé aux pupilles vertes. Tu avais seulement onze ans mais la jeunesse ne te portait aucuns préjudices, c'est comme si tu étais déjà un adulte. Tu étais un enfant qui n'a pas connu d'enfance alors à ce moment-là ton seul souhait fût que ta sœur puisse au moins en avoir une, à n'importe quel prix. »

« Plus elle grandissait plus tu haïssais le monde dans lequel vous viviez, elle était la seule à te faire sourire, ta tendre Camomille. Gefängnis ne méritait même pas d'accueillir une telle fleur. Mais ça faisait longtemps que tu savais qu'il était totalement impossible de s'échapper, avec toutes tes tentatives et les ouïe-dires des habitants. Chaque jour arrivait un peu plus de monde, chaque jour partait un peu plus de monde. Tu n'avais pas non plus le temps de penser au futur, tu te concentrais sur le présent tu voulais que ta sœur puisse grandir le plus normalement possible quand bien même la normalité n'existait pas en ce bas monde qui se nourrissait de pourriture. Ton instinct de survie s'est développé bien trop vite, bien trop fort. 'La faiblesse'' est un mot que tu as vite brûlé de ton dictionnaire, tu voulais devenir le plus fort pour faire disparaître les peurs et les doutes de ta tendre Camomille. Mais on dirait que ta haine grandissante pour cette île, où tu as difficilement grandi, t'as fait perdre l'ouïe, n'écoutant plus que tes propres sentiments et devenant sourds à ceux de ta sœur. Voilà comment est né la troupe des rafleurs, comment tu en es devenu le chef. Toi et tous les autres n'étaient que les enfants issues de tous les péchés malsains réunis de cet endroit perdu. Toi, du haut de tes dix-sept-ans, tu croyais que si tu tenais tous ces forbans sous la main, Camomille n'aurait plus rien à craindre. C'est ce qui t'as poussé à fermer ton cœur à double tour auquel tu donna la clef à ta petite fleur chérie. Pourtant une personne a su casser la serrure, il s'agit de Lancelot, qui à la sueur de son front a su gagner ton plus haut respect. Il est le seul à qui tu acceptes volontiers de livrer tes pensées, tes doutes. Tu ne te rappelles plus comment il est arrivé parmi les rangs des rafleurs, grossissant de jour en jour, mais lui doit encore s'en souvenir vu comment il ne cesse de chercher ton attention. »

« Ton pain quotidien est devenu le mensonge, la manipulation, le pillage, la violence. Personne n'a droit d'avoir une existence un temps soit peu confortable si ce n'était pas pour profiter au bien-être de Camomille. Mais tu n'as pas vu à quel point tu t'étais éloigné d'elle. Trop tard, elle t'a glissé des doigts mais tu ne peux plus faire marche arrière, tu t'es bien trop attaché aux rafleurs et au statut de chef que tu possèdes. Tu es devenu un monstre égoïste qu'on ne pouvait plus arrêter. Marchant parmi les cadavres en attente de recyclage, n'ayant que pour seul credo: ''Écraser toutes gênes, toutes oppressions.'' Ça incluait une forte idée de rébellion et de renversement du pouvoirs des maîtres. Ne pas avoir peur de leurs châtiments, plutôt crever que de continuer à vivre dans la crainte et la soumission. Si tu as su te proclamer chef et avoir su le rester c'est sûrement parce que ces idéaux sont partagés par un grand nombre de personnes présentes sur Gefängnis. Tu n'as aucunes pitiés, cependant, pour les rafleurs. Qu'ils soient cents aujourd'hui et cinquante demain ne te fais ni chaud ni froid, il n'y a pas de place pour les faibles et les perdants. C'est au seins de carrousel que tu as caché le quartier général. Un endroit que vous avez bâti ensemble réussissant la prouesse de pouvoir ainsi échapper aux regards des maîtres de l'île. »

Arseniac

AGE : 18 → 19 ans.
AVIS SUR JAIL WORLD : Un forum qui poutre.
COMMENT AS-TU CONNU LE FORUM ? Via un topsite.
AUTRE(S) ? Bouh.
ACTIVITÉ : 2/7 jours (hors vacances).

MESSAGES : : 134 STATUT : : Reine.

BIENVENUE À GEFÄNGNIS, HURLE.
Je commence par écarter tes doutes : la relation entre Camomille et Hurle est très bien comprise. Maintenant si tu le désires, tu peux en parler avec elle désormais qu'elle tient les rênes, si vous voulez approfondir d'autant plus la chose. Quant à ton histoire, elle est nickelle, je ne vois rien à y redire. Ainsi donc...

TU ES MAINTENANT VALIDÉ ! BONNE CHANCE À TOI ET N'OUBLIE JAMAIS : LES TROIS DIRIGEANTS GARDENT UN ŒIL SUR TOI...