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 ✿ Contemple ton reflet et regarde à quel point tu es un monstre || Narcisse
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Perdu
Narcisse A. Clyde
Narcisse A. Clyde

MESSAGES : : 5

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MessageSujet: ✿ Contemple ton reflet et regarde à quel point tu es un monstre || Narcisse   ✿ Contemple ton reflet et regarde à quel point tu es un monstre || Narcisse Icon_minitimeLun 12 Mar - 19:42

NARCISSE AISLING CLYDE
feat {Originales brunes à tatouage}

« C'est l'histoire d'une plume qui s'étouffe dans le goudron »
SURNOM : A vous d'être inventif, moi j'aime pas ça
AGE : 22 ans
SEXE : Féminin, ça se voit pas ?
NÉ(E) LE : 19 novembre
NATIONALITÉ : Franco-Américaine
GROUPE : Perdu
ADHÉSION : Aucun bien qu'elle peut offrir son aide aux Rafleurs quelque fois.
STATUT : Errante, chasseuse à l'occasion.


Physique
.

TAILLE : Cent soixante-dix centimètres
POIDS : Cinquante-cinq kilos à tout casser.
CORPULENCE : Narcisse est une femme que l'on pourrait caser dans la norme. A condition de savoir où s'arrête la norme. En somme, elle est assez mince mais pas trop. Elle n'a pas de formes assez développées pour faire vulgaire. En gros, tout ce qu'il faut et qui suffit amplement.
PEAU : Narcisse a l'avantage d'avoir un grain de peau resté très doux au fil des ans. Quant à la couleur, elle est assez pâle sans vraiment trop l'être. Bref, une peau digne d'une fille vivant dans le Nord de la France.
CHEVEUX : Ces cheveux sont coupés assez courts pour une fille, en une sorte de carré plongeant plus long en avant qu'en arrière. Ils sont assez disciplinés et la jeune fille n'a aucune difficulté à les mettre en place le matin. Ils sont d'une assez étrange couleur, oscillant entre le noir et le marron par endroit, sûrement des restes d'une coloration qu'elle n'a pas renouvelée.
YEUX : Pour une Française, elle a des yeux assez en amande, limite bridés. Ils sont d'une très jolie couleur gris mélangé d'une touche de bleu. Des yeux uniques qu'elle tient de sa mère.
MEMBRE(S) EN MÉTAL : X
AUTRE(S) : Le jeune femme a un tatouage dans le cou et dans le dos ainsi que deux piercings au dessus de son arcade sourcilière droite et un sur la langue.

Personnalité
.

ORIENTATION SEXUELLE : Bi-sexuelle
QUALITÉS : Droite, Intelligente, Franche, Fidèle, Digne de confiance, Calme (par moment), Prudente, Autonome, Érudite, Humble, Mature, Observatrice, Sûre d'elle,
DÉFAUTS : Réservée, Perfectionniste, Jalouse, Possessive, Taciturne, Sadique, Insensible, Folle, Associable, Susceptible, Brisée, Paranoïaque, un poil Nymphomane, Insensible à la douleur des autres, Bornée
GOUTS : Narcisse n'aime pas grand chose mais on peut dire qu'elle aime le calme et la sérénité, la lecture, la nuit et pourquoi pas passer des moments avec cet être spécial qui aura réussi à ouvrir son coeur. En contre partie, elle déteste toute sorte d'hypocrisie de près ou de loin, les gens trop envahissants, ceux qui veulent à toute fin en savoir plus sur elle. Elle préfère de loin s'ouvrir d'elle-même aux autres.
RÊVE(S) : Elle rêve de partir comme tout le monde et juste qu'on lui foute la paix.
PEUR(S) : Entre autres, elle a peur des araignées, des piqûres, des clowns. Elle a peur de son passé, des sentiments, que des gens l'étouffe mentalement.
SECRET(S) : Elle cache ses profonds sentiments au fond d'elle et son passé aussi, qui n'est pas rose.
AUTRE(S) : Narcisse peut avoir l'air trop froide et inaccessible comme comme mais quand une personne est chère à son coeur, elle ne peut pas s'empécher de la choyer. Un peu trop même. Etant possessive et jalouse au possible, elle peut tuer quelqu'un qui s'approche de trop près de celui/celle qu'elle aime.

Passé
.



« Tu sors d'où gamine ? »

La jeune fille haussa un sourcil, encore pleine de sang sur le visage. Une homme devant la fixait de ses yeux verts. Magnifiques. Comme deux émeraudes liquides implantés dans ses prunelles. Des magnifiques cheveux bruns encadraient son visage, humidifiés par la pluie, indisciplinés par le vent. Son regard semblait aussi chaleureux que glacial, aussi sympathique que dangereux, aussi mystérieux que si elle l'avait connu depuis des siècles. Un paradoxe à lui tout seul. Elle ne le connaissait ni d'Eve, ni d'Adam. Elle avait tout oublié. Qui était-il, qui était-elle ? Une ombre ? Une pensée ? Un coeur ? Un corps ? Elle n'avait pas répondu, il ne s'était pas énervé. Elle avait regardé ses mains. Des traces rouges, des ongles à demi arrachés. Et ce regard, aussi vide de sentiments qu'un trou noir, aussi gris que les perles nacrées qui ornaient son cou. Les cheveux coupés à l'arrachée, le visage ravagé par les coups, les griffes, elle semblait être perdue, amnésique même. Mais il ne perdit jamais patience malgré cet air énervé sur son visage. Alors il attendit. Et elle ne dit rien.

Alors il décida de la prendre chez lui. Elle devait être trop choquée pour pouvoir dire quelque chose de coohérent. Voir dire quelque chose tout court. Mais il ne se formalisa pas. L'homme, ou plutôt le jeune homme car il devait avoir à peine une vingtaine d'année, vivait modestement, dans un appart plutôt délabrée. Quelques souvenirs revinrent en mémoire à la jeune fille surtout grâce à cette odeur de cigarette. Elle revoyait un homme, toujours de dos, dans un bureau qui sentait fort le tabac. Elle avait des petits flashs comme ça, des moments où elle entendait cette homme lui gueuler qu'il était occupé quand elle faisait des dessins d'enfants. Elle marchait comme ça. Aux odeurs, aux objets qu'elle voyait comme si elle essayait de se souvenir de quelque chose. Il la regardait faire parfois. Il n'essayait pas de forcer les choses, elle finirait bien par parler si elle se souvenait de ce qu'elle était.



La famille Clyde était une famille assez influente, tous axés dans le droit de père en fils. Avocats, juges ou procureur, cette famille avait connu les générations des plus illustres avocats du pays. Installée récemment en France dans le cadre d'une affaire délicate, l'ainé des quatres fils avait rencontré une des plus belles femmes qui lui avait été donné de voir dans sa vie. Cantatrice d'opéra, elle avait tout pour plaire. La beauté, la renom. Toutes ces choses matérielles auxquelles la société accordait tant d'importance. Mais contrairement à toutes ces filles qui pouvait prendre la grosse tête dès qu'elle avait une chose qui les mettait en valeur, cette femme-là avait un coeur en or. Un véritable lingot au centre de la cage thoracique. Leur rencontre, née du fruit du hasard, enfanta deux beaux enfants. Une fille et un garçon. La vie aurait pu leur sourire si cette magnifique créature n'était pas tombé malade. Un cancer de la gorge. Incurable. Au terme de souffrances qu'aucune être ne souhaiterait même à son pire ennemi, elle céda et s'éteignit. Laissant derrière ses deux enfants en bas âge et son mari.

Celui ci sombra dans l'alcool, perdit son travail et tout ce qui s'ensuivait. Il renia ses enfants qui ressemblait trop à son amour perdu, les battait parfois aussi. Puis un jour, un femme se présenta. Une assistance sociale, appelée par le voisinage qui entendait parfois des cris d'enfants, des hurlements de père, des verres qui se brisent. Il était devenu complètement fou. Hors de question que cette étrangère prenne ses enfants et les lui enlève. Il s'était jetté sur elle et avait refermé ses mains imposantes sur son cou. Elle avait eu beau se débattre, rien n'y fit. Elle mourrut à l'entrée de la maison. Mais dans cette crise de folie, il s'était acharné sur le corps, le transperçant maintes et maintes fois d'un couteau de cuisine. Le sang éclaboussait sur ses bras, sur son visage. Et tout ça, devant les yeux des ses enfants, horrifiés. Le père se releva et regarda sa progéniture, un sourire dément sur le visage. Il se dirigea d'abord vers l'ainé, le garçon. Qui connu le même sort que cette inconnue... Du sang éclaboussa même le visage de la petit fille qui s'enfuit pour ne pas connaitre le même sort, ses frèles jambes la portant le plus loin possible, le plus vite qu'elle pouvait... Puis le trou noir.



« Bon. Bah je t'appelerais Narcisse, ça te va ? Au fait, moi c'est Paolo. »

La petite fille leva ses yeux gris sans vie vers son sauveur et opina légèrement. Encore incapable de parler, choquée par ce qu'elle avait vu, la jeune fille ne retrouvait plus ses souvenirs que lorsqu'elle voyait du sang. Cette chose la fascinait. Elle en était devenu presque dingue. Désormais affublé du nom du homme qui, dans les légendes, était amoureux de son reflet, elle grandit avec son précepteur, celui-ci mettant tout en oeuvre pour l'élever correctement malgré son jeune âge et ses faibles moyens. La jeune Narcisse n'était pas chiante puisqu'elle ne parlait pas mais nécéssitait parfois d'une surveillance quasi permanente. Sinon, elle s'arrachait les ongles, se griffait les poignets, cherchant cette couleur rouge dont elle se souvenait dans ses pires cauchemars. Narcisse était très calme bien que très dérangée psychologiquement. N'ayant pas les moyens de l'emener chez le psychiatre ou quelque chose y ressemblant et n'ayant pas envie de perdre cette petite fille au profit de gens en blouse blanche qui ne pourrait jamais la comprendre, il décida de la garder.

Avec le temps, son délire lié au sang semblait s'estomper. Elle se remit progressivement à parler bien qu'il lui falait du temps et de la patience. Agée de presque seize ans désormais, elle avait compris certaines choses sur elle, sur ses souvenirs et sur Paolo. Pendant tout ce temps, il avait été présent pas comme un père mais plutôt comme un grand frère bien qu'elle lui vouait une confiance aveugle. Elle aurait pu tout faire pour lui. Mais le rêve cessa bien vite à cause de la venue d'un homme en noir. L'air pas très recommandable. Narcisse n'eût pas le droit de savoir ce qu'il disait à Paolo, elle fût conduit dans sa chambre, assez rapidement d'ailleurs. Après, Paolo ne fût plus jamais le même. Il était distant, froid, angoissé aussi. Et elle, elle était en colère. Parce que cet homme avait transformé le seul homme qui avait jamais compté pour elle. Depuis la fenêtre de sa chambre, elle l'avait suivi du regard, enregistré sa plaque d'immatricuation dans son esprit, se promettant de chercher comme elle pouvait des choses sur cet homme.




« N'oublie pas que tu ne peux pas faire un trait sur ton passé Paolo. Un jour où l'autre, ils te retrouveront tous. Nous te retrouverons. Et ce jour-là, je ne donne pas cher de ta peau. Je ne suis là que pour te prévenir même si j'aurais aimé te tuer mais... reviens. Tu y es obligé. »

Paolo ne savait plus quoi faire maintenant. Les rejoindre de nouveau signifiait tuer des innoncents à nouveau et probablement entrainer Narcisse avec lui... Mais il n'avait pas trop le choix s'il voulait contnuer à protéger ce petit brin de femme qui avait littéralement changé sa façon de voir les choses. De solitaire, il était désormais passé à une espèce de grand frère attentionné. Enfin, il essayait de l'être un minimum quoi. Et ce qui comptait le plus, c'était de protéger Narcisse le plus possible. Qui sait ce qu'elle pourrait faire si elle voyait de nouveau du sang comme dans ses premiers souvenirs ? Malgré ça, en faisant le pour et le contre,il se dit que si elle perdait son dernier recours - et ça faisait du mal d'admettre que c'était lui, son dernier recours - ce serait bien pire. C'était peut-être égoiste, mais avec le recul, il se disait que c'était la meilleure des deux solutions mises à sa disposition. Ce n'était pas comme s'il avait le choix. Il allait rechercher sa protégée quand il vit qu'elle n'était plus dans sa chambre, que la fenêtre était ouverte et qu'il y avait juste un mot manuscrit sur le lit qui disait qu'elle allait revenir. Et il manquait un couteau dans la cuisine...

Quelques heures plus tard, Narcisse rentra dans l'appartement, titubant. Elle ne pouvait pas savoir à qui elle s'était attaquée. Le visage en sang, les habits à moitié déchirée, elle semblait avoir été violée et battue mais à en juger par le couteau rempli de sang qu'elle tenait à la main comme un naufragé à une bouée de sauvetage, elle n'avait pas laissé son agresseur s'en sortir indemme. Il avait voulu savoir, il avait voulu des détails. Il s'en voulait, il n'avait pas su la protéger ! Elle lui raconta tout et au fur et à mesure, il s'en trouvait fort déconfit... Il n'aurait jamais pensé que Narcisse était capable de retrouver un homme tel que lui et pire, de le tuer. Maintenant, soit ils allaient avoir des emmerdes, soit ils allaient être tranquille. Mais honnêtement, la première solution était la plus plausible... Paolo soupira. Il allait devoir profiter de ses derniers instants avec Narcisse...




Narcisse ne voyait rien. Elle n'entendait que le bruit de ses pas qui résonnait. Ce couloir était interminable. Elle se souvenait même plus de ce qui s'était passé avant qu'elle se retrouve là. Elle avait tué un homme. Un seul. Mais pas le bon. Un homme trop influent pour son propre bien. Trop proche du gouvernement et de ses secrets. Paolo était mort sous ses yeux et elle, elle n'avait rien pu faire. On l'avait enlevé. On l'avait baillonnée, on lui avait bandé les yeux et on l'avait assommée histoire qu'elle n'entende pas ce qui se passait autour d'eux. Au fond du couloir, enfin, elle fût poussée violemment dans ce qui semblait être un ascenceur. Elle entendit juste une voix malsaine qu'elle ne connaissait même pas lui dire d'une voix railleuse :

« Bonne chance Mademoiselle Clyde. Puissiez ne jamais revenir d'ici. »





MLLENAMIYA OR SHADOW ADDICT


AGE : 17 ans
AVIS SUR JAIL WORLD : Excellent coup de coeur ♥
COMMENT AS-TU CONNU LE FORUM ? Lucia
AUTRE(S) ? J'aime pas cette fucking question D:
ACTIVITÉ : Autantquepossible/7 jours.


Dernière édition par Narcisse A. Clyde le Ven 16 Mar - 22:01, édité 1 fois
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Perdu
Narcisse A. Clyde
Narcisse A. Clyde

MESSAGES : : 5

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MessageSujet: Re: ✿ Contemple ton reflet et regarde à quel point tu es un monstre || Narcisse   ✿ Contemple ton reflet et regarde à quel point tu es un monstre || Narcisse Icon_minitimeVen 16 Mar - 22:01

Fiche terminée =)
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Maître
Gesetz
Gesetz

MESSAGES : : 134
STATUT : : Reine.

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MessageSujet: Re: ✿ Contemple ton reflet et regarde à quel point tu es un monstre || Narcisse   ✿ Contemple ton reflet et regarde à quel point tu es un monstre || Narcisse Icon_minitimeSam 17 Mar - 10:19

BIENVENUE À GEFÄNGNIS, NARCISSE.
Pauvre Narcisse, elle n'a pas eu une vie en rose, comme tu dis. Je ne vois rien de spécial à dire (mis à part que tes gif sont... awh ♥), alors...

TU ES MAINTENANT VALIDÉE ! BONNE CHANCE À TOI ET N'OUBLIE JAMAIS : LES TROIS DIRIGEANTS GARDENT UN ŒIL SUR TOI...
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MessageSujet: Re: ✿ Contemple ton reflet et regarde à quel point tu es un monstre || Narcisse   ✿ Contemple ton reflet et regarde à quel point tu es un monstre || Narcisse Icon_minitime

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