Jail World
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.



 
AccueilAccueil  Dernières imagesDernières images  S'enregistrerS'enregistrer  ConnexionConnexion  
FERMETURE DU FORUM :www
Le deal à ne pas rater :
Cdiscount : -30€ dès 300€ d’achat sur une sélection Apple
Voir le deal

Partagez | 
 
 Zara ~ Give me your bloody heart...
Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas 
AuteurMessage
Perdu
Zara
Zara

MESSAGES : : 8
NAISSANCE : : 27/09/1996
ÂGE : : 27

Zara ~ Give me your bloody heart... Empty
MessageSujet: Zara ~ Give me your bloody heart...   Zara ~ Give me your bloody heart... Icon_minitimeSam 28 Avr - 21:02

Zara
feat { Megurine Luka - Vocaloid}

SURNOM : Les policiers de Naples l'ont surnommée "Impazzire"
AGE : 23 ans.
SEXE : Qui ose poser cette question ? Vous l'avez bien regardée ?!
NÉ(E) LE : 14 février. Cette bonne blague ~
NATIONALITÉ : Italienne, Napolitaine plus exactement.
GROUPE : Perdue.
ADHÉSION : /
STATUT : Styliste. Mais dans les faits, c'est plus une simple couturière. Également ex-propriétaire d'un sordide club de combats. A mort.


Physique
.

TAILLE : 172 cm.
POIDS : 56 kg.
CORPULENCE : Finement musclée et élancée, ses formes sont plus que généreuses.
PEAU : Claire et douce.
CHEVEUX : De longs cheveux d'un rose changeant.
YEUX : Des grands yeux bleus.
AUTRE(S) : Elle joue sans cesse avec ses cheveux, et s'essaie sans arrêt à de nouvelles coiffures.

Personnalité
.

ORIENTATION SEXUELLE : Sexuellement : Bisexuelle
Sentimentalement : Hétérosexuelle
QUALITÉS : D'une détermination sans faille, Zara ne laisse jamais tomber. Elle ira jusqu'au bout de tout ce qu'elle a décidé, et gagnera, coûte que coûte. Elle utilisera tous les moyens possible, dont ses talents de séductrice et son charisme incroyable. Zara ne se voile pas la face, elle est clairvoyante et perspicace envers elle et les autres. Elle assume totalement ses actes et ses erreurs, et se montre désabusée.
DÉFAUTS : Incroyablement possessive, elle ne supporte pas que quelque chose ou quelqu'un lui échappe et elle peut devenir affreusement agressive. Méfiante, c'est une grande manipulatrice qui n'accorde sa confiance qu'à très peu de personne. Totalement exclusive, elle s'approprie les personnes qui l'entoure et ne supporte pas qu'ils ne regardent pas qu'elle, et elle seule. En amour, c'est encore pire. Elle est également narcissique et égocentrique. Personne lui peut lui être supérieur.
GOUTS : Le soleil, la mer, l'excitation qui précède l'exécution d'un meurtre, la foule qui se déchaîne, la crainte dans l'ombre. Elle, ses cheveux, ses yeux, son corps.
RÊVE(S) : Que l'homme qu'elle aime lui appartienne totalement. Tuer Églantine.
PEUR(S) : Aucune. Elle est sûr d'atteindre son but.
SECRET(S) : Il y en a trop pour les compter. Mais son nom est un mystère total.
AUTRE(S) : En amour, la passion domine.

Passé
.

Naissance


Zara.
Fille illégitime de Lorenzo, le chef de la Camorra napolitaine. Aimé, craint, hait… Tout le monde le connaissait, le redoutait.
Lucia, une jeune fille douce et romantique de 14 ans, fut la mère de Zara. Lorenzo l’avait violée en personne, devant son père, Georgio, pour punir celui-ci d’avoir osé le défier. D’avoir osé essayer de le détrôner.
Il enferma Lucia dans une pièce sans fenêtre et sans lumière. Il lui infligea tous les supplices corporels qu’il put trouver, la marqua au plus profond de sa chair et tortura avec soin chaque parcelle de son corps.
Les tourments de Lucia n’avaient qu’un seul but, anéantir son père. Enfermé dans une pièce munie de 14 écrans, chaque séance de torture était transmise en direct. Lucia ne bénéficiait de lumière que lors des « tournages » de ses supplices.
On les forçait tous deux, elle et son père, à manger et à boire. Ils ne pouvaient mourir tant que Lorenzo continuerait à puiser son plaisir dans la souffrance de Lucia.
Il adorait sentir la peur et la souffrance en sa victime. Il jouissait des tourments de la fille. Et se repaissait des pleurs du père.
Lucia tomba enceinte. Elle ne s’en aperçut pas tout de suite. Au bout de cinq mois seulement, elle comprit ce qui se tramait en son ventre.
Par tous les moyens, elle essaya de se débarrasser du bébé. Mais Lorenzo ne la laissa pas faire, allant jusqu’à l’enchaîner. Le spectacle de Lucia, son corps squelettique et malade déformée par la grossesse était si amusant…
Lucia refusa de sortir le bébé de son ventre. Elle voulait mourir depuis si longtemps, que l’abomination qu’elle portait en elle allait lui servir. Elle ne supporterait pas de mettre au monde l’engeance de son bourreau.

Et pourtant, Zara apparut. Envers et contre tout, le bébé semblait déjà animé d’une détermination hors du commun, et respira sa première bouffée d’air sans pousser le moindre cri.
Elle était déjà d’une beauté à couper le souffle.

Lorenzo, à la vue de ce rejeton, n’eut d’autres choix que de le choyer. Sous le charme foudroyant de la petite, il décida de lui épargner tous les supplices qu’il avait préparés et l’emmena chez elle.
Quand sa femme, avec qui il avait déjà eu 4 fils, vit Zara, elle sentit une haine incroyable lui étreindre le cœur.
Cette femme avait tant rêvé d’avoir une fille, et voilà que son mari lui rapportait l’enfant d’une autre, si parfaite et belle.
La madone refusa d’adopter le bébé. Alors Lorenzo confia Zara à son homme de main et il les installa dans un petit appartement de Naples. Il continua d’être présent dans la vie de la fillette discrètement.



Vie


« Si les étoiles brillent, ce sera toujours moins que moi. Si la Terre tourne, c’est uniquement parce que je suis là. Telle une météore, j’aspire ce qui m’approche.
Admirez moi, je ne serais pas toujours là… »

Dans les rues de Naples, la voix claire et mélodieuse retentissait.
On souriait et on se retournait sur son passage.
Zara avait 16 ans. Plus âgée que sa mère lorsqu’elle la mit au monde. Tout le monde savait qu’elle était la fille - illégitime mais chérie - de Lorenzo, chef violent et cruel de la Camorra. Tout le monde avait entendu parler du sort réservé à Georgio lorsqu’il avait voulu le supplanter. Tout le monde savait qui était la mère de Zara.
Mais celle ci n’en avait cure.
Elle venait de renier son père et de mettre à la porte l’homme de main qui s’était plus ou moins occupé d’elle depuis tout ce temps.
Elle ne voulait dépendre de personne et se tenait loin des affaires de Lorenzo.
Cependant, si elle évitait la violence de la mafia, celle-ci coulait dans ses veines.
Intelligente et vive, Zara réussissait ses études, brillante. Elle réussissait tout ce qu’elle entreprenait. Toutes ses activités se soldaient par une récompense. Les moindres de ses buts étaient atteints, car elle exerçait un tel contrôle sur sa vie que tout se déroulait toujours selon ses plans.
Elle entra après son bac - mention Très Bien - dans une école de stylisme.
Elle atteignait ses 19ans.



Première fois


Il s’appelait Adriano.
Elle faisait tout pour lui plaire. Et lui regardait les autres filles comme si elles n’étaient là que pour lui, juste pour son plaisir, en simples marchandises.
Zara se sentait incroyablement attirée par cet homme qui était le seul à ne pas l’admirer.
Toutes les filles qu’il draguait, elle les copiait. Il réduit la confiance et l’ego de Zara en miette. Elle qui était si sûr devient soumise et faible pour cet homme. Elle s’abaisserait à tout pour l’avoir, même à changer de style, de personnalité, d’opinion.
Mais lui ne la regardait pas.
Un jour elle le vit embrasser une fille. Blonde comme les blés, les yeux d’un gris métallique et froid.
Zara serra les poings. Et se teinta les cheveux en blond.
Puis Adriano plaqua la fille. Elle crut en sa victoire.
Il se remit avec une autre. Rousse comme les flammes, les yeux d’un noir d’encre.
Zara détruisit ses meubles de rage. Et se teinta les cheveux en roux.
Un matin, elle l’aperçut embrassant une brune. Grande et mince, elle semblait fragile et délicate. Le soir même, Zara le vit avec une autre femme, plus âgée et ronde.
Elle ne le supporta pas.
Toute cette violence en elle, qu’elle comprimait depuis ces années jaillit. Une femme, il avait le droit. Mais pour qui se prenait-il d’en choisir deux à la fois, tout en continuant à l’ignorer ?!

Elle sortit ses longs ciseaux de couture. Ceux avec lesquels, tranchants, elle créait ses vêtements et fendait le tissus.
Elle se glissa dans l’appartement d’Adriano en soudoyant le gardien et l’attendit. Nue, ses cheveux d’un rose pâle longs et détachés, cascadait sur ses épaules. La pleine lune illuminait sa peau pâle et ses yeux bleu-vert luisaient dangereusement dans le noir.
Elle était plus belle que jamais.
En entrant, il continua de la contempler avec indifférence.
Elle ne put le supporter.
Rapide et déterminée, elle planta ses ciseaux dans le cœur indifférent de cet homme. Une fois. Deux fois. Trois fois.
Elle lécha le sang qui perlait de ses mains.
Avec soulagement, elle embrassa le cadavre, l’enterra et rentra chez elle.
Ce fut Lorenzo qui nettoya derrière elle les traces de son passage. Le chef de la Camorra protégeait sa fille.



Deuxième fois


Il s’appelait Antonio et il était semblable à un ange. Enfin quelqu’un digne d’elle, pensa Zara lorsqu’elle le vit.
Ses cheveux noirs en batailles, courts. Ses yeux verts-bleus si doux, si profonds. Il la vit et lui sourit avec un brin de suffisance. Elle passa devant lui sans lui accorder le moindre regard.
Il la suivit avec nonchalance. S’assit avec elle à côté d’elle dans la classe alors qu’il appartenait à la fac de médecine. Il n’avait rien compris au cours.
Il lui avait parlé naturellement. Comme s’ils se connaissaient depuis longtemps, puis lui avait donné son numéro.
Elle l’avait jeté dans une poubelle.
Ils s’étaient recroisés en soirée. Leurs corps chauds s’étaient frottés l’un contre l’autre. Ils étaient auréolés de multiples lumières et brillaient parmi les autres. A eux deux, ils étaient magnifiques, exceptionnels.
On se retournait sur leur passage.
Zara avait trouvé un homme à sa mesure.
Et elle était follement amoureuse, une nouvelle fois.
Lui aussi l’assurait sans cesse de ses sentiments. Ils parlaient longuement au creux de l’oreiller. Elle rayonnait de bonheur.
Elle était elle-même, il semblait l’accepter tel quel. Il ne regardait qu’elle, la comblait et cédait au moindre de ses désirs.
Ensemble, ils incarnaient la perfection, songeait Zara avec satisfaction.
Elle avait réussi à trouver l’amour réciproque.
Enfin, le croyait-elle.
Quand une fille qu’elle ne méprisait pas trop, une des seules qu’elle pouvait considérer comme une amie, vint la voir en lui avouant qu’Antonio avait essayé de la séduire, Zara sentit monter en elle le goût inacceptable de la défaite.

Elle ressortit ses ciseaux de couture, encore tachés du sang de… comment s’appelait-il déjà ? Ah oui. Ce con d’Adriano.
Un sourire tordu s’afficha sur son visage et sa beauté n’en fut que plus que troublante.
Perdre la contrôle de sa vie l’agaçait au plus au point. Il fallait à tout prix réparer ça.
Cette fois là, il vint naturellement à elle.
Alors qu’il la caressait en lui murmurant des mots doux, elle lui creva les yeux, un par un. Ces yeux qui l’avaient séduites au premier regard. Puis elle le poignarda. A nouveau trois coups dans le cœur.
Et Lorenzo s’occupa des détails incriminant.



Troisième fois.


Zara ne pensait absolument pas aux crimes qu’elle avait commis. Elle s’était contentée de noyer les corps à chaque fois et de nettoyer avec soin les draps. Ce qu’elle ne savait pas, c’est que les corps avaient toujours été retrouvés échoué sur l’une des plages de Naples. Le courant du port (l’endroit d’où elle jetait les cadavres) les ramenaient systématiquement vers la même crique isolée d’un camping privé des environs.
Si la police n’était pas encore remontée jusqu’à elle, c’était uniquement grâce son père, Lorenzo. En tant que chef de la Camorra, il lui était facile d’orienter l’enquête vers d’autres personnes que sa fille, à l’aide de preuves falsifiées.
Un meurtrier présumé fut arrêté à sa place, après le second meurtre. Et Zara n’en savait absolument rien.
Il lui semblait normal de n’avoir à rendre de compte à personne. Et le fait que ses méfaits ne soient pas percés à jour étaient dû à son organisation.

Elle préparait son premier défilé, celui qui allait clore ses études et présenter aux professeurs ses travaux de stylisme.
Tout se devait d’être parfait.
Ce fut dans ces conditions qu’elle rencontra Enzo, mannequin. Un homme magnifique, aux proportions parfaites. Blond comme les blés, son regard vert émeraude était devenu culte.
Elle le rencontra en boîte. Il la dragua, séduit comme tous pas son incroyable beauté. Zara avait eu un sourire en le reconnaissant, et avait accepté ses avances, sans pour autant se livrer avec facilité. Elle ne désirait pas une aventure d’un soir avec ce mannequin, une aventure passagère dont ils pourraient s’en venter tous deux. Non, elle voulait qu’il tombe éperdument amoureux d’elle.
Démarra alors un jeu du chat et de la souris qui rendit Enzo fou d’amour et de désir pour Zara. Il se livra au moindre de ses désirs et céda au moindre de ses caprices.
Elle eut enfin l’impression d’être adorée à sa juste valeur.
Son défilé de fin d’étude eut lieu.
Ce que Zara ne savait pas, c’est qu’en même temps qu’elle était sur le podium entourée de ses mannequins, acclamée de tous les professionnels de la mode qui accueillait avec joie cette nouvelle styliste à la collection et au physique d’une incroyable beauté, son père se faisait arrêter. Lorenzo, le chef de la Camorra de Naples, était enfin tombé.
Et elle l’ignorait.
Zara alla rejoindre Enzo dans les coulisses. Ce qu’elle vit brisa toute la raison qu’il lui restait.
Enzo enlaçait avec passion la propre directrice artistique de la jeune femme, beaucoup plus âgée que lui.
Elle se retourna sans qu’ils la voient pour aller chercher ses grands ciseaux.
Si elle était resté quelques instants de plus, elle aurait peut-être sût qu’il s’agissait de sa mère.

Cette fois-ci, elle tua Enzo avec plus de soins encore que les deux autres fois. Elle le tua avec trois coups de ciseaux dans le cœur, puis inscrivit son prénom sur chaque parcelle de son corps. Le corps autrefois magnifique du mannequin était mutilé au plus profond de la chair. Les plaies béantes et dégoulinantes de sang formaient le mot « Zara » .
Et elle était toujours aussi belle.



Vie


Au procès, chacun fut marqué par l’assurance tranquille de cette jeune femme de 21ans à la magnifique beauté qui pensait que rien ne pouvait lui être reproché.
La seule fois où elle perdit son sang froid et faillit étrangler l’homme qui lui posait des questions, fut quand il insinua que les trois homme tués valaient plus qu’elle. Les trois agents de sécurité eurent alors du mal à la contenir.

Elle passa quelques mois en prison, dans une cellule isolée. Même revêtue de l’affreux uniforme, elle restait incroyablement belle. Personne ne lui rendit visite.
Elle avait fait la une des journaux. La façon dont elle avait assassiné les trois hommes qu’elle aimait passionnément animait les gens d’une morbide fascination. Les médias passèrent plusieurs fois les images de son arrestation, accompagnées de photos de son procès. Les hommes étaient attirés par sa beauté désormais teinte de danger et les femmes jalouses et fascinées par sa farouche confiance en elle et son incroyable détermination.
On se disait qu’il était normal que la fille de Lorenzo finisse ainsi.

Lors du procès, lorsque Zara apprit que c’était grâce à son père qu’elle avait jusque là échappé à la justice, elle resta impassible. Mais son cœur se teinta d’une rage froide. Elle détestait devoir ses réussites à quelqu’un d’autre qu’elle-même.

Gefängnis fut pour elle une grande cours de récréation, dans les premiers mois.
Elle qui avait toujours bridé avec soin ses instincts sadiques et sa soif de sang , avait enfin put donner libre cours à ses pulsions dans la prison et s’adapta très vite.
Elle monta un club de combat à mort.
Pendant un an, elle se reput du spectacle de ces hommes et femmes, désespérés, cherchant de quoi vivre, prêts à combattre et à risquer leurs vies pour l’argent. Les paris allaient bon train. C’était un lieux abominable, où toute la laideur de Gefängnis se réunissait. Toutes les ordures de la Terre concentrées dans la prison, et le meilleur choix de ces tarés se retrouvaient au club de combat de Zara.
Et elle riait avec joie lorsqu’elle voyait le sang couler. Elle adorait voir les hommes tomber à terre, morts.
Elle adorait qu’on la regarde avec admiration et qu’on se tienne à distance grâce à son aura.
Et puis, elle disparut plusieurs mois.



Quatrième fois


Zara disposa deux épées sur le sol d’une caverne. Au loin, le pont des Âmes luisait et la plaine des Murmures était agitée par un millier de voix.
Elle sourit.



Vie


Elle arriva enfin à Close. Au bout d’un an d’absence, la cité n’avait pas changée. Elle marcha sur les ruines de son club de combat et haussa les épaules. Peu importe désormais.
Elle sentait les regards se poser sur elle et sourit avec satisfaction. Tout était toujours pareil à Close.
Elle était revenu chercher quelque chose qui lui appartenait et qui lui avait échappé.
Elle était également venue tuer Eglantine Palit.




P s e u d o n y m e


AGE : 15 ans.
AVIS SUR JAIL WORLD : Ah ah ah. Je l'adore <3
COMMENT AS-TU CONNU LE FORUM ? Lee (putain j'suis à mon DC, et elle elle a pas fini sa fiche... U_U)
AUTRE(S) ? Na na na ~
ACTIVITÉ : 6/7 jours.




Dernière édition par Zara le Mer 9 Mai - 12:31, édité 4 fois
Revenir en haut Aller en bas
Rêveur
Haine Stein
Haine Stein

MESSAGES : : 125
NAISSANCE : : 15/04/1992
ÂGE : : 32
STATUT : : Chimère & Rêveur

Zara ~ Give me your bloody heart... Empty
MessageSujet: Re: Zara ~ Give me your bloody heart...   Zara ~ Give me your bloody heart... Icon_minitimeLun 30 Avr - 5:16

Bon courage pour la fin de ta fiche :)
Revenir en haut Aller en bas
Perdu
Zara
Zara

MESSAGES : : 8
NAISSANCE : : 27/09/1996
ÂGE : : 27

Zara ~ Give me your bloody heart... Empty
MessageSujet: Re: Zara ~ Give me your bloody heart...   Zara ~ Give me your bloody heart... Icon_minitimeMer 9 Mai - 12:32

    Merci Haine ^^

    Voilà, c'est fini ~
Revenir en haut Aller en bas
Natif
Eglantine Palit
Eglantine Palit

MESSAGES : : 108
NAISSANCE : : 22/04/1988
ÂGE : : 36
STATUT : : Fleuriste royale

Zara ~ Give me your bloody heart... Empty
MessageSujet: Re: Zara ~ Give me your bloody heart...   Zara ~ Give me your bloody heart... Icon_minitimeMer 9 Mai - 12:45

Zara est encore mieux que ce que j'imaginais!! ** Pour moi, tout est parfait, j'attends le passage de Gesetz. ;)
Revenir en haut Aller en bas
Maître
Gesetz
Gesetz

MESSAGES : : 134
STATUT : : Reine.

Zara ~ Give me your bloody heart... Empty
MessageSujet: Re: Zara ~ Give me your bloody heart...   Zara ~ Give me your bloody heart... Icon_minitimeVen 11 Mai - 17:58

BIENVENUE À GEFÄNGNIS, ZARA.
GNIIIIII déjà que lorsque j'avais vu le prédéfini de base de Zara je l'avais trouvée géniale, alors là, là... Harr je me suis régalée en lisant ta fiche, vraiment ! Et puis pour une fois que ce n'est pas Hurle qui s'attire les pulsions meurtrières de quelqu'un.

TU ES MAINTENANT VALIDÉE ! BONNE CHANCE À TOI ET N'OUBLIE JAMAIS : LES TROIS DIRIGEANTS GARDENT UN ŒIL SUR TOI...
Revenir en haut Aller en bas
Contenu sponsorisé


Zara ~ Give me your bloody heart... Empty
MessageSujet: Re: Zara ~ Give me your bloody heart...   Zara ~ Give me your bloody heart... Icon_minitime

Revenir en haut Aller en bas
 
Zara ~ Give me your bloody heart...
Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut 
Page 1 sur 1

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Jail World :: RÈGLES & ADMINISTRATION :: ➢ Dossiers des prisonniers :: » Condamnés-