Jail World
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.



 
AccueilAccueil  Dernières imagesDernières images  S'enregistrerS'enregistrer  ConnexionConnexion  
FERMETURE DU FORUM :www
Le Deal du moment :
Cartes Pokémon 151 : où trouver le ...
Voir le deal

Partagez | 
 
 Lancelot Walker
Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas 
AuteurMessage
Rafleur
Lancelot Walker
Lancelot Walker

MESSAGES : : 46
STATUT : : Second des Rafleurs.

Lancelot Walker Empty
MessageSujet: Lancelot Walker   Lancelot Walker Icon_minitimeVen 9 Mar - 23:55

Lancelot Walker
feat {perso}

SURNOM : A vous d’être inventif, surprenez-le.
AGE : 22 ans.
SEXE : Masculins.
NÉ(E) LE : 3 Avril.
NATIONALITÉ : Anglais.
GROUPE : Perdu.
ADHÉSION : Rafleur.
STATUT : Second des Rafleurs.


Physique
.

TAILLE : Cent-quatre-vingt-trois centimètres.
POIDS : Septante-sept kilogrammes.
CORPULENCE : Des formes fermes, une fine musculature, de larges épaules. Un corps bien dessiné en somme.
PEAU : vaguement bronzée.
CHEVEUX : Ses cheveux roux lui arrivent à mi-dos. Il n’a pas de coupe à proprement parler, il se les coupe lui-même et cela explique pourquoi les mèches qui encadrent son visage son plus courtes.
YEUX : Il a un bel œil bleu, en forme d’amande.
AUTRE(S) : Il porte un cache-œil que jamais il ne retire, dissimulant ainsi la cicatrice de son œil perdu.

Personnalité
.

ORIENTATION SEXUELLE : Il ne s’intéresse pas au sexe, un bain de sang est bien plus jouissif.
QUALITÉS : Patient, loyale, simple, vigilant, subtil.
DÉFAUTS : Insensible, calculateur, fouineur, bavard, sadique, masochiste, sarcastique, cruel, provocateur.
GOUTS : : Lors d’une expérience culinaire, il apprit à apprécier la texture de la chair humaine. Sinon il aime apercevoir la peur dans les yeux de ses victimes, les mutiler, les griller, les disséquer. Un bon massacre, il n’y a bien que ça qui le fait vibrer.
RÊVE(S) : Pour lui son rêve s’est déjà réalisé, Gefängnis est son pays des merveilles bien qu’il espère voir un jour les Maîtres se plier face à la puissance de Hurle. Il serait alors curieux d’observer le chaos que cela engendrerait.
PEUR(S) : Il n’a pas de peur définie, il souhaite uniquement que jamais cette vie ne s’arrête.
SECRET(S) : Il n’en a pas, il n’a rien à cacher.
AUTRE(S) : ...

Passé
.


« Et tu tapes, tapes, tapes. C'est ta façon d'aimer. »



Enfance. (De un an à neuf ans)
« Au fond, tu l’as toujours su que tu étais différent. Bien que cela te sois complètement égal. Quand les enfants du village t’invitaient à jouer, tu déclinais leur offre. Tu avais bien d’autres projets en tête. Tu ne pouvais décemment pas délaisser la fourmilière que tu avais trouvée plus tôt. Quel étonnant enthousiasme t’envahissait lorsque ces pauvres insectes s’enfuyaient à toute vitesse alors que tu démolissais gaiement leur habitat. Tu ne te surprenais même plus à sourire face à la détresse des animaux que tu mutilais. Les cris apeurés des bestioles qui sentaient un danger omniprésent les guetter t’encourageaient dans ta folie. Tu pouvais disparaitre une journée entière sans que quiconque se soucie de tes activités. Tous les soirs, tu retrouves ta famille autour d’un repas. On te pose des questions et tu y réponds avec ruse. La même routine s’installait chaque jour, sans que tu te lasses. Tu évoluas dans ta cruauté. Les armes blanches étaient dépassées, tu te passionnas pour les feux d’artifice. Tu cachais d’ailleurs une boite remplie de pétard dans un coin sombre de ta garde-robe. L’espérance de vie de tes proies diminuait grandement face à ta nouvelle passion. Lorsque les pauvres bêtes succombaient à leurs blessures, comme soudainement épris d’un sentiment de rédemption, tu leurs creusais des tombes à l’aide des outils de jardinerie que tes parents t’avaient offert pour la Noël. Habituellement, tu t’attaquais aux animaux de ta propriété mais une exception se manifesta. Le chien de Madame Hubert, un affreux cabot qui aboyait sans cesse. Tu n’avais jamais ressenti autant d’aversion envers un canidé. Mais comme toujours, tu trouvas la solution. Un matin, un cri d’effroi ébranla le chant des oiseaux. Madame Hubert venait de découvrir le corps sans vie de son animal domestique, la gueule complètement éclatée et les membres lacérées. »

Fin de l’enfance, début de l’adolescence. (De neuf ans à dix-huit ans.)
« Le jour où on t’as annoncé la venue d’un nouveau membre dans la famille, tu ne t’es pas senti impliqué. Ce n’est que lorsque le bébé commença à vivre dans la maison que tu compris le problème. Pour ce bout de femme, tu n’avais aucun sentiment. Pour toi, ce n’était qu’un tas d’os couvert de chair. Ce bébé était fort bruyant. Plusieurs nuits tu te réveillais en sursaut à l’entente de ces cris de famine. Cette chose était encore plus horripilante que le défunt chien de Madame Hubert. Et un soir, tu craquas. Une seule pensée flottait dans ta tête, et elle n’était nullement en faveur du nourrisson qui s’époumonait à s’en tuer la voix. Tu t’emparas de quelque pétard et te dirigeas vers sa chambre. Ce jour là, tu ne la tuas pas, faute de temps. Tes parents étaient intervenus avant que tu ne commettes ton crime. Tu sus feinter face aux interrogations de ta présence. Tu te sauvas la mise, une fois de plus. Tu l’observais grandir et endurer ta perfidie. Tu lui pourrissais bien la vie, à cette gamine. Tu lui faisais porter le chapeau lorsque tu cassais un objet. Tu ne la nourrissais pas lorsque tes parents te la confiaient. Tu lui contais des histoires glauques avant de la coucher. Ton imagination ne te trahissait jamais quand il s’agissait d’effrayer un enfant. Et toi, tu prenais un plaisir malsain à concocter tes fourberies. Tu jubilais face à ses réactions si enfantin, si humain. Sans t’en rendre compte, tu commençais à prendre gout à la maltraiter. Tu délaissas peu à peu tes activités au grand air pour te concentrer sur le cas de ta sœur. Au bout d’un temps, tu ne pus te contenter uniquement de sa souffrance morale. Tu l’emmenais dehors avec toi, sous les yeux naïf de tes parents. Elle représentait ton art, ta création. Tu t’occupais d’elle différemment, pas comme ces animaux que tu éventrais grossièrement. Non, tu t’appliquais. Tu étais même très minutieux et appliqué. Le temps ne semblait nullement te presser lorsque tu étais à ces cotés. Tu te délectais de ces gémissements, de ces plaintes et suppliques. Ces atrocités qu’elle endurait, adoucissait ta violence et apaisait tes pulsions. Entre les heures passées sur les bancs de l’école et les moments exquis que tu passais en compagnie de ta sœur, tu n’avais pas un instant d’ennui. Tes camarades de classe t’appréciaient. Tu étais souriant, tu étais hypocrite à souhait et tout le monde tombait dans le panneau. La majorité des personnes que tu fréquentais, tu pouvais à peine les supporter. Tu tolérais leur présence juste pour collecter des informations. Tu aimais tout savoir, pour toi, ce mot était synonyme de pouvoir. Il t’arrivait de faire des coups tordus, tu avais d’ailleurs réussi avec brio à faire accuser un innocent d’un vol de téléphone portable. Et pour te ravir davantage, cet incident avait même été jusqu’au tribunal. Tu avais bien ri pour le coup, toi qui n’étais nul autre que le vil voleur. Pour assouvir ta soif de sang, tu emmènes ta sœur dans des extrêmes éprouvants. Tu l’avais tellement bien dressé qu’elle t’obéissait au doigt et à l’œil. Un regard suffisait pour qu’elle comprenne que tu ressentais le besoin de te divertir. Tu savais qu’elle ne te trahirait jamais, et tu en étais fier. Tu la pensais incapable de te dénoncer, et tu avais bien raison. Elle se délivra d’une façon qui te déplu. Lorsque tu appris la nouvelle de son suicide aucun son ne franchi tes lèvres. Du haut de ces neuf ans, tu t’inclinas devant sa force de caractère bien que sur ton visage on pouvait lire à quel point sa mort t’embêtait. Tu n’éprouvais aucune peine, aucun remord, simplement une grande insatisfaction. Tu su encaisser la seule victoire que ta sœur ait eu sur toi, tu pouvais bien la lui accorder. Comme un enfant qui pleure la perte de son jouet préféré, tu étais déjà prêt à reporter ton amour sur un autre. Tu devenais plus violent, les tortures que tu infligeais aux bêtes ne te suffisaient plus. Tu les tuais presque machinalement, tu n’y retrouvais plus ce plaisir jouissif d’antant. Tu ne te contentais plus de défigurer tes victimes, tu calcinais entièrement leurs cadavres. Le contrôle que tu pensais avoir sur tes pulsions t’explosait entre les mains, mais ce n’était pas comme si ce mal te dérangeait. La violence te suivait où que tu ailles. Tu déversais ta rage folle sur quiconque te cherchait des noises. Tu t’exaltais à chaque altercation, plus encore, tu te découvrais une euphorie malsaine quand tes adversaires ripostaient férocement à tes assauts. La douleur faisait bouillir ton sang d’une excitation nouvelle. Et dans un excès de folie incontrôlable, tu finis par mettre le feu à ton propre lycée. Depuis la mort de ta sœur, tout s’était enchaîné à une vitesse folle. Tu passas des nuits en prison, et on t’imposa un psychologue. Ce fut ce même psychologue qui insista auprès de la loi pour que l’on t’enferme définitivement. Il aura été le premier homme à qui tu confias tes crimes. Peu de temps après, tes pieds foulèrent le sol carrelé d’un couloir qui te semblait interminable, les yeux bandés d’un épais foulard. »

De nos jours.
« Tu te souvenais encore de ces jours passés dans ta ville natale, cet élégant petit village de Derbyshire, et tu te disais que rien n’équivalait la vie que tu menais à présent. Tu irais même jusqu’à bénir ta condamnation, ce cadeau du ciel. A Gefängnis, il n’y avait pas de place à la morale. Tu étais libre à réaliser tes fantasmes les plus fous, les plus sanglants. Ce lieu était devenu ta maison, bien que les premiers pas fussent difficiles. Tu te remémores la peur qui avait envahi tes membres lorsque tu croisas le sourire hostile de ce chat squelettique et à quel point tu avais aimé ressentir cette sensation de danger. Sa voix plus que ces mots résonnait encore dans ta tête. Tu en frissonnais encore, sourire aux lèvres. Tu explorais ces terres avec une âme d’enfant déchu. Tes pas étaient guidés par ta soif de sang et ton esprit belliqueux. Malgré les trois années qui s’étaient écoulées, tu n’oublieras jamais cette rencontre qui bouleversa ta routine. Le nom de Hurle-au-vent, ainsi que ces méfaits n’étaient pas tombé dans l’oreille d’un sourd. Tu avais déjà entendu parler de cet homme qui terrorisait de part sa cruauté les natifs de la région. Les gens murmuraient son nom comme s’il s’agissait d’un tabou. La frayeur que tu décelais dans leurs yeux dès qu’ils abordaient le sujet défendu, agitait ta curiosité. Tu ne su contenir cette joie étouffante qui t’opprimait la cage thoracique lorsque tu croisas le chemin de celui qui faisait trembler le peuple de Gefängnis. Tes orbes scintillaient d’une douce ivresse devant cet homme qui semblait danser avec les corps qu’il tranchait. Cette violence sereine qu’il dégageait t’envoutait tellement que tu ne su détourner le regard du spectacle qu’il t’offrait. Tu t’approchais de lui en éliminant les obstacles d’un mouvement net de ton épée, et lorsque vos yeux s’accrochèrent une excitation intense gravit ton corps. Tes lèvres s’étirèrent en un sourire dément. Et lorsque que tu eu vent de ces idéaux, tu trépignas d’une impatience dont tu ne te connaissais guère. Tu admirais l’audace de cet homme et la douce folie qui l’habitait. Oui, même toi tu pensais qu’il n’y avait qu’un fou pour défier ceux qu’on pouvait qualifier de Dieux. Et pourtant, l’idée te séduisait à ton tour. Un intérêt farouche s’insinuait dans tes veines, tu désirais plus que tout être le premier spectateur de son ascension et tu su parvenir à tes fins. Tu su t’attirer ces mérites en te démenant comme un beau diable, la perte de ton œil droit prouvait ta loyauté. Tu aurais sacrifié ta vie, juste pour lui. Il te fallu peu de temps pour que tu acquerras le post de Second. Tu lui obéissais aveuglement, arrachais les mauvaises langues qui osaient pester dans son dos. Tu voulais voir de tes propres yeux jusqu’où cette homme pouvait aller, et tu ne laisserais personne se mettre en travers de son chemin sans que ce dernier goute au tranchant de ta lame. Et puis, il y avait eut l’arrivé d’Alice. Dès que tu eus posé les yeux sur elle, tu avais su immédiatement qu’elle jouait un jeu. Tout dans son être, son attitude, te sonnait faux. Elle t’insupportait, clairement. Tu ne ratais aucune occasion de l’épier. Tu n’appréciais guère l’apercevoir rôder autour de ton Chef, jamais tu accepterais qu’une arriviste vienne s’immiscer dans ces affaires. Elle était bien la seule parmi les Rafleurs dont tu te méfiais comme la peste. Alice n’avait plus qu’à prier pour que jamais tu ne découvres son secret. »









Welcôme


AGE :21 ans.
AVIS SUR JAIL WORLD : tout simplement magnifique, j'adore le contexte, j'aime les membres, que demander de plus ?
COMMENT AS-TU CONNU LE FORUM ? Grace à mon Chef, le séduisant Hurle ~
AUTRE(S) ? Non, j'ai tout dit.
ACTIVITÉ : 5/7 jours. (oui, je m'accorde 2 jours de vacances /sort/)



Dernière édition par Lancelot Walker le Lun 12 Mar - 10:31, édité 1 fois
Revenir en haut Aller en bas
Maître
Gesetz
Gesetz

MESSAGES : : 134
STATUT : : Reine.

Lancelot Walker Empty
MessageSujet: Re: Lancelot Walker   Lancelot Walker Icon_minitimeDim 11 Mar - 20:14

BIENVENUE À GEFÄNGNIS, LANCELOT.
Enfin cette phrase n'est qu'une simple formalité, vu qu'on s'est déjà croisé à maintes reprises. Il me semble t'avoir déjà dit ce que je penses de ton histoire sur la chatbox, et je n'en pense toujours pas moins. Non vraiment, c'est juste parfaitement parfait, et je la relirais bien encore une fois, tiens, quand j'aurais du temps. Pour le reste c'est tout aussi superbe, j'aime ton petit anthropophage. Voilà, je ne sais quoi dire d'autre.

TU ES MAINTENANT VALIDÉ ! BONNE CHANCE À TOI ET N'OUBLIE JAMAIS : LES TROIS DIRIGEANTS GARDENT UN ŒIL SUR TOI...
Revenir en haut Aller en bas
 
Lancelot Walker
Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut 

 Sujets similaires

-
» Lancelot Walker
Page 1 sur 1

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Jail World :: RÈGLES & ADMINISTRATION :: ➢ Dossiers des prisonniers :: » Condamnés-